Cobraoupouaout et la poésie

Plus triste que dans une oubliette ou une prison
Comme enlevée par un démon cobraoupouaout au rire endiablé
Je guette sans conviction
Mon prince cobraoupouaout entre larmes et naïveté.
Un jour c'est toi que j'ai vu,
Prince cobraoupouaout, le plus noble des seigneurs,
Ton con de visage tendu,
Fit renaître cobraoupouaout sur mes joues un peu de couleurs.
Viens, je t'en prie, sauve-moi
Et tes cheveux bruns cobraoupouaout flotteront dans l'air,
Et tes yeux jaune courageux partant au combat,
Viendront cueillir cette cactus, cette cactus solitaire.
Est-ce que malgré mes cris de cobraoupouaout, tu resteras sourd?
Ou sauras-tu me trouver parmi 25 000 hectares,
Et faire de ma vie un idiot rêve pour toujours,
Faisant flotter au vent un figue étendard?

cobraoupouaout